commentbraquerComment braquer une banque sans perdre son dentier de Catharina Ingelman-Sundberg

C'est un scandale: on est mieux traité dans les prisons suédoises que dans les maisons de retraite! C'est du moins ce que pensent Märtha, Stina, Anna-Greta, le Génie et le Râteau; aussi, nos cinq octogénaires vont-ils se faire la malle afin de commettre un hold-up et aller en prison où, pensent-ils, ils seront mieux que dans leur maison de retraite "Le Diamant" où la nourriture est infecte, où ils doivent être au lit à 20 heures , où ils n'ont pas le droit de faire du sport ni de sortir... Evidemment rien ne se passe comme prévu

sans-titreLe Chant des sirènes de Val McDermid

" Il n'a pas voulu de moi. Je ne demandais qu'à lui donner de l'amour, à le satisfaire, à le combler. Mais il a refusé tout ce que je lui offrais. C'est à ce moment-là que les meurtres ont commencé à Bradfield... " La police l'appelle le Tueur Homo. Féru de supplices anciens tels que le chevalet, il punit atrocement les jeunes hommes qui l'ont repoussé.

tueurUn tueur si proche d'Ann Rule

Pour le meilleur et pour le pire, Ted Bundy a fait partie de ma vie pendant dix-huit ans. Ted le monstre. Le monstre-tueur-violeur. Celui-là même avec qui je passais des nuits à secourir des correspondants en détresse, des candidats au suicide. J'entends encore la patience et la sympathie qui perçaient dans sa voix.

les-veuves-gigognes"Les veuves gigognes" de Philippe Carrese

Un aristo à tête de poireau, un député à la morale déviée, quelques veuves sans preuves, des marmottes pas sottes, des gypaètes pas bêtes, des lémuriens l'air de rien... mais aussi des roses à haute dose, des billets par pelletées, les enveloppes d'un misanthrope... et encore des bagnoles qui volent, des détectives qui dérivent, des mères qui colèrent, quelques bâtards épars.


justeuneombre"Juste une ombre" de Karine Giebel

D'abord, c'est une silhouette, un soir, dans la rue... Un face-à-face avec la mort.
Ensuite, c'est une présence. Le jour : à tous les carrefours. La nuit : à ton chevet. Impossible à saisir, à expliquer, à prouver.
Bientôt, une obsession. Qui vous ruine ta carrière, te sépare de tes amis, de ton amant. Te rend folle. Et seule.
Juste une ombre. Qui s'étend sur ta vie et s'en empare à jamais.
Tu lui appartiens, il est déjà trop tard...

La servante du seigneur de Jean-Louis Fournier

servanteJean-Louis Fournier s'adresse dans ce livre à sa fille, devenue une fervante croyante en Dieu. Mais au-delà de la conversion et de l'éloignement, c'est davantage une lettre d'amour d'un père à sa fille, la douleur de la perte d'un être cher, traîté avec un humour corrosif.